• Soutenance de thèse/HDR,

Science Politique/Thèse : Changement de régime et genèse d'une nouvelle histoire officielle. Combats autour du passé fasciste et communiste en Roumanie après 1989

Publié le 12 novembre 2019 Mis à jour le 12 novembre 2019

Mme CONSTANTIN La chute de Nicolae Ceauşescu en 1989 conduit à de fortes mobilisations intellectuelles pour la condamnation du régime communiste de Roumanie dans un contexte politique où l’exercice du pouvoir est assuré dès 1990 par une formation composée d’anciens membres de la nomenklatura. Marginalisées dans un premier temps, les demandes de condamnation aboutissent au milieu des années 2000 à l'officialisation d’un discours de criminalisation du passé communiste par le chef de l'Etat fortement appuyé dans sa démarche par les historiens. Cette officialisation suit de près la reconnaissance par la Roumanie de sa participation à la Shoah durant la Deuxième Guerre mondiale, participation confirmée par les travaux d'une commission internationale pour l'étude de l'Holocauste dirigée par Elie Wiesel. Cette thèse interroge les recompositions politiques et intellectuelles qui se déploient après 1989 à la faveur du changement de régime par le prisme des combats autour de l’interprétation des passés fasciste et co

Date(s)

le 14 novembre 2019

à 14h00
Lieu(x)

Bâtiment Pierre Grappin (B)

Salle Paul Ricoeur (B.016)

 

  Présente ses travaux en soutenance 
en vue de l'obtention du doctorat science politique 
 

CHANGEMENT DE RÉGIME ET GENÈSE D'UNE NOUVELLE HISTOIRE OFFICIELLE. COMBATS AUTOUR DU PASSÉ FASCISTE ET COMMUNISTE EN ROUMANIE APRÈS 1989


Equipe de recherche : ISP


Membres du jury :
Mme Antonella CAPELLE-POGACEAN, Chargée de recherche CNRS,
Mme Annie COLLOVALD, Professeure à l'Université Paris Nanterre,
M. Patrick GARCIA, Professeur à l'Université Cergy Pontoise,
Mme Marie-Claire LAVABRE, Directrice de recherche CNRS à l'Université Paris Nanterre, Directrice de thèse
Mme Frédérique MATONTI, Professeure à l'Université Paris I Panthéon Sorbonne, Rapporteure
Mme Nadège RAGARU, Chargée de recherche CNRS, Rapporteure

Mis à jour le 12 novembre 2019